Dream Team : 10 bonnes raisons de regarder le web doc

A l'approche des Jeux Olympiques de Londres, les hommages à la Dream Team - la seule, l'unique - fleurissent pour célébrer les 20 ans de cette équipe de basket de rêve. Le journaliste de l'Equipe Jérôme Cazadieu a réalisé un web documentaire sur le mythe Dream Team, actuellement visible gratuitement sur le site internet du quotidien sportif.

Nos 10 bonnes raisons de regarder ce web doc :

1 - Il s'agit de la plus grande équipe de sport collectif de tous les temps. Il n'y aura sans doute jamais plus d'équipe de ce calibre, tous sports confondus.
2 - Michael Jordan, Larry Bird et Magic Johnson : les 3 plus grands joueurs de ce jeu étaient réunis dans la même équipe. Ça vaut le détour.
3 - Cette équipe a contribué à développer le basket dans de nombreux pays et à faire de ce sport une discipline globale. Des champions comme Tony Parker, Dirk Nowitzki ou Pau Gasol ont commencé le basket suite aux JO de Barcelone.
4 - Les images d'archives, rares et fabuleuses. Une succession de highlights qui donnent le vertige. Pour la qualité du montage de Nicolas de Virieu, également (relire l'entretien avec Nicolas de Virieu).
5 - Les punchlines de Charles Barkley, un excellent client en conférence de presse. La plus célèbre à propos de la rencontre face à l'Angola : "I don't know nothing about Angola but Angola is in trouble".
6 - Pour l'anecdote de John Stockton (meneur de jeu des Utah Jazz) racontant qu'il pouvait marcher sur les ramblas sans que personne ne le reconnaisse.
7 - Parce que ce documentaire est de meilleure facture que celui réalisé par la NBA. Jérôme Cazadieu a réussi l'exploit de rencontrer les 12 dream teamers et ce ne fut pas une mince affaire. Surtout pour Michael Jordan qui valida l'entretien au dernier moment.
8 - On apprend que Scottie Pippen, excellent joueur de cartes, plumait régulièrement Jordan, Magic et Barkley lors de parties qui pouvaient durer jusqu'au petit matin.
9 - Chris Mullin a toujours une coupe de cheveux de GI.
10 - Le réalisateur serbe Emir Kusturica a fait grand bruit lorsqu'il a récemment déclaré que la seule sélection qui aurait pu contester la suprématie de Team USA était la grande équipe de Yougoslavie de la fin des années 90 avec les Divac, Petrovic, Kukoc et compagnie. On aurait tellement aimé voir ça. La guerre en a décidé autrement.